
La sonde européenne Venus Express traque sur la surface de l’atmosphère de Vénus, les « fenêtres infrarouges ». Ce sont des zones moins opaques, où l’atmosphère se fait plus fine permettant ainsi aux astronomes de pointer les spectromètres du vaisseau pour mieux en observer la composition et aussi la surface de ce monde caché et brûlant.
L’image ci-dessus, en fausse couleur, a été réalisée avec le spectromètre infrarouge et visible VIRTIS à une distance de 60 000 km de celle qui est la « jumelle » de la Terre par la taille. La tâche blanche en haut à gauche représente une de ces zones beaucoup plus fines qu’ailleurs dans l’atmosphère de la planète à travers laquelle il devient possible d’acquérir certains détails et informations.
Voir vidéo d’un vortex au pôle sud de Vénus.
Crédit photo : ESA/VIRTIS/INAF-IASF/Obs. de Paris-LESIA.